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    RECHERCHES ANTERIEURES sur le lien CCSVI-SEP

    Domyleen
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    Message  Domyleen Lun 5 Juil 2010 - 15:23


    Voici un bref rappel de l'histoire des recherches CCSVI dans la SEP/ ça ne date pas d'hier... même Charcot avait émis l'hypothèse que SEP et d'autres affections neurologiques pouvaient avoir un lien avec le système veineux, mais il n'a jamais pu le démontrer (technologie non appropriée):

    Cet article fait suite à celui sur les désaccords concernant les résultats de "l'étude allemande":

    Le texte suivant est tiré de " d'un calendrier sur la connexion MS-veineuse " (de Joan Beal: "cheerleader" sur Thisisms)



    1863 Dr. E. Rindfleisch a remarqué que, tous les spécimens d'autopsie du cerveau de MS-il la visionne à son microscope, une veine gorgée de sang au centre de chaque lésion.

    Années 1930, le Dr TJ Putnam effectue des recherches sur les lésions et a noté que la thrombose des petites veines pourrait être le mécanisme sous-jacent de la formation de la plaque.

    1942 Dr. Robert Dow et le Dr George Berglund continuent sur la recherche de Dr. Putnam et trouvent toujours des connexions à des lésions veineuses avec la SEP.

    1950 Dr Zimmerman et Netsky poursuivent les recherches de Dow et Berglund, et notent que les lésions sont en effet veineuses dans la nature, mais non causées par une petite thrombose comme le pensait Putnam .

    1980 Alfons F. Schelling, MD a poursuivi l'étude. Ses conclusions ont été:

    "Propagation inégale du centre de surpression veineux dans les différents systèmes cérébraux et spinaux drainage veineux est la règle plutôt que l'exception. L'intensité des forces donc être exercée sur la vulnérabilité des structures céphalo-rachidien par la pression résultant des gradients dans l'espace craniovertebral est inconnue . Il est nécessaire d'examiner les diverses conditions qui peuvent causer la prédisposition individuelle à lourdes reflux dans cérébrale particulière ainsi que des épi-et sous-dural rachidien compartiments veineux. Une tentative est faite d'indiquer les conséquences éventuelles de la dilatation rétrograde excessive, en particulier des veines cérébrales internes. L'importance d'élucider les implications cliniques et neuropathologiques de reflux excessive dans le crâne ou la colonne vertébrale est déduite de la probabilité des relations entre le refoulement localisé dans l'espace et craniovertebral unexplicated maladies cérébro-spinal. À cet égard, les caractéristiques de la sclérose en plaques sont discutées. "

    Pour résumer:
    certaines veines sont dilatées en raison d'une pression du sang. On croit que c'est ce qui cause la plaque dans le cerveau. Si tout cela était connu depuis longtemps, pourquoi pas personne n'a trouver une réponse jusqu'à ce que le Dr Zamboni créé des remous?

    Avec ce qui est connu des problèmes dans le cerveau MS il ya suffisamment de renseignements recueillis pour justifier une action immédiate de prendre des mesures pour mettre un terme au (mauvais) retour du flux sanguin du cerveau qui été connu depuis 1863.

    Il est précisé que certains ont peu ou pas d'amélioration après les quelques chirurgies . Il est également précisé que certains patients test qui n'ont pas de MS ont CCSVI sans aucun symptôme, il ne peut pas être une cause de la SP. Il est également un fait avéré depuis 1936 par le Dr Putman que la plaque dans le cerveau MS est associée à une veine dilatée causée par l'écoulement de retour du sang.

    Tout comme certaines personnes fument toute leur vie et ne vont jamais avoir un cancer alors que d'autres respirent la fumée de quelqu'un d'autre et peuvent mourir, n'est-il pas possible que pour certains une artère bloquée ne fasse rien, mais pour d'autres c'est une catastrophe?

    les patients prennent Betaseron et Copaxone etc.., une drogue forte pour tenter de protéger la barrière hémato-encéphalique: Les médicaments qui ont des effets secondaires terribles. On est en droit de se demander pourquoi la profession médicale trainent des pieds, ce qui rend les malades plus malades,... alors qu'ils décident si CCSVI est la cause de la sclérose en plaques!

    http://www.examiner.com/x-52874-Toronto-Multiple-Sclerosis-Examiner~y2010m6d22-CCSVI-the-inside-scoop
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    Message  M Mar 6 Juil 2010 - 7:40

    désolé, vous devrez traduire et mettre en forme le tout... Mais voici ce que m'a communiqué Nineeleven... Je pense que tout y est! Bonne lecture! La source est fiable et expérimentée (plus de 20 ans de recherches dans le domaine!) Ceci devrait vous interesser ;-)


    CCSVI: How to diagnose and treat nervous affections attributable to
    a recurrence of violent venous flow inversions

    Conventional understanding of chronic cerebrospinal venous insufficiency

    In principle, the term chronic cerebrospinal venous insufficiency (CCSVI) simply points to
    the presence of critically narrowed passages in internal jugular veins and azygos vein, main
    channels of cranial and vertebral venous drainage. Immediate effect of any such hindrance to
    venous outflow is a damming up of blood in the venous periphery, engorging tributary vessels
    and flooding collateral veins. This venous congestion may be aggravated by a slowing down
    of the blood stream, referred to as stasis: lacking in nutrients and gorged with metabolic waste
    products, the venous periphery exudes liquids and even tiny spots of blood.

    Less obvious consequences of CCSVI

    A damming up of blood in jugular and azygos veins may yet also predispose to a another kind
    of deleterious events: Prevented from escaping toward the heart fast enough, the engorged
    veins’ content may be driven back in direction of brain or spinal canal during any form of
    jugular and azygos vein compression.
    Such events appear the rather hazardous:
    (1) The larger blood volumes are to be displaced in direction of the venous periphery;
    (2) The higher the local rises in venous pressure;
    (3) The longer blood is being driven back
    (a) from neck veins into some part of the brain, or
    (b) the more vehement larger volumes of it are being displaced from abdomen into
    especially lumbar spinal canal;
    (4) The more the involved veins are already filled;
    (5) The more, with right or left internal jugular vein, a separate cerebral drainage system, or
    also the spinal drainage system of the lumbar veins with or without azygos vein is exclusively
    being involved;
    (6) The more strictly limited the involved cerebral venous drainage system’s peripheral
    territory’s, and
    (7) The more easily walls and surroundings of veins of brain and spinal canal momentarily
    yield to a column of regurgitant blood.

    As for factor (1) not just momentary or lasting hindrances of ordinary venous outflow from
    internal jugular and azygos veins come into play. At times enormous widening of especially
    lower parts of internal jugular veins may also unfavourably modify the course of events.

    Regarding factor (2), we can note but the following:
    During muscular exertion pressures attaining heights of 500 mm Hg are known to impact
    upon veins of the trunk – a value which may be far surpassed in all sorts of accidents.

    The point, however, how far jugular or sub-occipital venous pressure can rise during moves or
    exertion of, and, in particular, external impacts upon the neck seems never to have been
    investigated into.

    Not much more can be said in view of factor (3):
    (a) The time span available for venous reflux into the skull - depending on the ongoing
    balancing of, on the one hand, differing venous pressures without and related venous and
    arterial pressures within not only the brain but the entire cranio-vertebral space is of crucial
    importance for the depth to which venous flow inversions may penetrate into a distinct venous
    territory of the brain.

    (b) As for the duration of venous reflux into the spine, there exists merely anecdotal evidence
    from fluoroscopic observations of massive respiratory displacements of cerebrospinal fluid
    from lower into upper parts of the cranio-vertebral space within very short periods of time.

    Regarding point (4) we must be aware of the fact that a substantial engorgement of internal
    jugular veins does by no means only occur with enduring organic obstructions. The extremely
    changeable positioning, extreme rotation, flexion or extension, of the head as against the chest
    has long been known to be able to dam up jugular veins as well.

    In obstructions of the upper end of internal jugular veins it has to be kept in mind that large
    volumes of blood may be driven back, in direction of the brain, also from massively engorged
    collateral veins, i.e. in particular from suboccipital vein plexuses, via posterior or lateral
    condylar veins.

    Remarkably little concern aroused point (5) (a), i.e. the fact that blood being driven back from
    (or via) either right or left internal jugular vein can selectively burden either the cortical or the
    inner venous drainage of the cerebrum. This despite the fact that anatomical variations of the
    confluence of sinuses predisposing to insufficient or missing levelling out of pressure
    gradients between inner and outer cerebral venous drainage system have often been described
    already in the 19th century AD. With completely split straight sinus, it is even possible that
    only left or right inner cerebral veins may be overburdened by flow inversions in the jugular
    vein of the same side.

    (b) Enormous pressure gradients may be briefly built up between veins in the trunk, especially
    in the abdomen, and epidural veins of the lower end of the spinal canal. Here obstructions of
    the azygos vein may predispose to more massive venous shifts from outer lumbar veins into
    veins of the epidural space of the lumbar canal. Such a venous reflux can obviously be the
    more violent, the more external, and the less internal veins of the spinal canal are filled, the
    wider their connections between the former and the latter veins are, and the weaker a counter
    pressure against upward displacements of spinal subarachnoid fluid is being exerted in
    cranium and uppermost part of the spinal canal.

    What appear of decisive importance is factor (6): The strictness of the limitation of the
    involved cerebral venous drainage system’s peripheral territory. If venous flow inversions in
    one internal jugular vein tend to exclusively or primarily overburden either superior sagittal
    sinus or straight sinus, veins of the latter obviously far more at risk: Individual tributary veins
    of the straight sinus tend to be directly and selectively burdened according to momentary
    pressure resistance of their vascular periphery while the often narrowed orifices of the cortical
    veins, in pointing to the superior sagittal sinus’ usually blind anterior end, tend to be burdened
    as a whole; apart from this, the cortical veins are rather interconnected in the form of a mesh,
    whose main channels often have access to extracranial veins at the base of the skull not being
    burdened by venous reflux.

    The direct invasion of the straight sinus’ affluent veins underlines the significance of factor
    (7): The transmural pressures exerted along each venous affluent depend not only on
    configuration and distribution pattern of each of them; they are also greatly modified by
    venous and arterial counter pressures exerted on the part of the cortical vessels invading the
    local venous periphery – the perfusion of the latter being continually altered according to the
    activation of separate functional units of the brain. The lower the momentary local tissue
    pressure, the rather walls and surroundings of some branch of the Galenic vein will be unable
    to resist the impact of a column of regurgitant blood.

    Thereby falling cerebral perfusion pressure, inspiratory, position or motion dependent
    emptying of even widely distant cerebral or epidural spinal veins may greatly enhance the risk
    for venous reflux to injurious degrees of venous reflux.

    Brain and spinal cord damages to be effected in CCSVI

    A superabundance of venous collateral channels usually ensures that even complete
    obliteration of both internal jugular veins does, of and by itself, not cause any lasting damage.
    In a stark contrast to this, obstructions of superior sagittal sinus (1) or straight sinus (2)
    typically result in pools of edema, dotted with hemorrhages, marking out the stasis-affected
    tissue domains. In the latter, histopathologically, potentially reversible demyelination prevails.

    As for CCSVI, no systematic investigation into the way it affects brain and spinal cord has
    still been carried out. Venous obstructions as observed in CCSVI yet appear hardly ever
    capable of producing peripheral circulatory stasis. In keeping with this, the nervous affections
    seen in patients with CCSVI do not show the clinical pictures previously observed in severe
    cervical venous obstruction of any cause.

    The most striking observation made in severe instances of CCSVI was in fact this one:
    Forced expiration alone did suffice for inverting the direction of flow in inner cerebral
    veins pertaining to the straight sinus’ vascular territory (3). Lesions emerging in comparable
    distribution patterns could thus be expected to give evidence of comparable venous activities.

    Under certain circumstances, any kind of muscular or outside compression of extracranial
    veins being engorged on account of obstructions in internal jugular veins can be expected to
    preferentially overburden veins in the straight sinus’ small, strictly confined venous domain:
    This in particular with a straight sinus being directly, just primarily or even exclusively,
    related to an obstructed internal jugular vein. More generally, however, the straight sinus’
    tributary vessels are at a greater risk simply on account of their branching along, and radiating
    off into pulpy tissues bordering considerable volumes of, at times, most easily yielding
    cerebrospinal fluid where they are but confronted with a last ebbing out of any competing
    arterial pulsation.

    Considering all this, it seems quite obvious that CCSVI-lesions cannot but first emerge about
    large subependymal veins next to spread along their most readily accessible affluent veins.
    Farther out, the neighbourhood of vascular bends and ramifications might be primarily at risk.
    In this way, compact, well delineated lesion cones and waves can be expected to arise from
    inner surfaces into the substance of the cerebral hemispheres, lying in line with later emerging
    peripheral plaques. All in all, this kind of CCSVI lesion spread ought to simply mark out
    where blood being driven back into the straight sinus’ vascular territory unduly burdened the
    involved veins’ walls and periphery.

    Involved tissues would thus from time to time fall prey to fleeting concussions or blunt
    contusions exceeding from their veins’ content. Clinically, corresponding affections might be
    manifest but for seconds (concussion with slight intracellular disorganisation) or last up to
    months (traumatic demyelination). Incapacitations produced by severe contusions, ending up
    in neuronal or complete tissue destruction, however, were lasting for life.

    Sheathed in a tough dural sac being encircled by a mesh of broadly interconnected veins, the
    spinal cord can hardly be invaded by a spread of venous excess pressures into its veins.
    Venous blood being driven back into especially the lower spinal canal may yet momentarily
    displace the mantle of cerebrospinal fluid embedding the cord, thereby taxing both the spinal
    cord’s surfaces and even more points and lines of insertion of the ligaments by which it is
    fixed to its sheaths.

    Regarding the risk of venous flow inversions reaching injurious intensities, brain and spine
    may further be expected to differ in the following: The impact of a venous reflux invading the
    brain can be expected to increase with the degree of the involved venous pathways’
    engorgement along especially also their intracranial course. Venous reflux into the spinal
    canal, on the other hand, will be the more vehement, the more copiously the veins outside and
    the poorer those inside the spinal canal have come to be filled.

    Diagnostics of CCSVI

    The process of CCSVI not simply depends upon the degree of stenosis affecting one or both
    internal jugular respectively the azygos vein. The ascertainment of individual predispositions
    to damaging flow inversions in definite venous pathways of brain and spinal cord accordingly
    requires beside a verification of the presence of extracranial to intracerebral or extra- to
    intraspinal veno-venous reflux, also a retracing of its individually differing source and course.
    The conditions favouring larger volumes, higher pressures, and especially a greater
    vehemence and wider reach of venous flow inversions assailing brain and spinal cord thereby
    ought to become evident.

    A tool being widely available and, as a consequence, preferentially employed for tracing an
    occurrence of, and certain preconditions to, flow inversions in veins of the neck is Duplex
    sonography. Suited for exploring valvular function and the configuration (stenosis, prestenotic
    dilatation) of internal jugular veins, Duplex scans lends themselves for an evaluation of the
    risk of venous reflux into and further up along the main extracranial pathways of the brain.
    Transcranial colour-coded Doppler sonography, on the other hand, is unsurpassed in its ability
    to directly trace venous flow inversions within the skull. Its potential for discriminating
    predispositions to venous reflux into, on the one hand, straight sinus and, on the other,
    superior sagittal sinus has not been fully exploited as yet.

    In the attempt at determining whether it is actually venous reflux that accounts for nervous
    and mental incapacitations which otherwise had to remain unexplained, cranial MRI cannot
    be done without. Repeated in short intervals, it allows even to monitor the bizarre ways in
    which lesions resulting from CCSVI are bound to advance and retreat.
    As for the detection of spinal cord lesions attributable to CCSVI, routine MRI has
    unfortunately not yet attained the necessary sensitivity and specificity.

    MRVs performed according to Haacke protocol are apt to render exact and comprehensive
    three-dimensional reconstructions of cervical and intracranial venous anatomy. In doing so,
    they may provide evidence of more or less complete separations between right and left-sided
    cervical venous drainage of the brain. Here the demonstration of a direct continuation of
    straight sinus into one (twice more often the left than right) lateral or also occipito-marginal
    sinus attains primary interest.

    The most precise means for a sharp, detailed and comprehensive illustration of the route
    which such venous flow inversions may take is conventional selective venography.
    As for the elucidation of CCSVI processes affecting the brain, expiratory retrograde
    jugularography (4) appears to be the most revealing tool.

    In the attempt at tracing CCSVI processes affecting the spinal cord, conventional selective
    phlebography ought not be limited to the azygos vein. Especially in suspected CCSVI lesions
    of the lower spinal cord, the lumbar veins’ connections to both inferior cava vein and the
    epidural venous plexuses of the spinal canal need to be studied as well.

    Prevention of damages resulting from CCSVI

    If the development of lesions appearing characterized and emerging in the ways just described
    can be shown to be associated with individual predisposition to massive, intensive as well as
    far-reaching flow inversions in definite venous pathways of brain and spinal cord, such events
    need to be prevented by appropriate physical means.

    This appears all the more urgent as a recurrence of flow inversions in any venous drainage
    system tends to stiffen its walls and to dilate the vascular channels being involved. In this way
    the process of CCSVI tends to become more and more dangerously intensified.

    In severe instances, only well planned surgical interventions can be expected to reliably halt,
    or even prevent, otherwise relentlessly progressing neurological and mental incapacitations
    due to CCSVI.

    Concrete therapeutic suggestions

    As yet the treatment of CCSVI has been based upon dilating stenoses of internal jugular and
    azygos vein using balloon angioplasty. To counteract the high risk of restenosis, given mainly
    in the internal jugular vein owing to its collapse in sitting and standing position, balloon
    angioplasty has often been complemented by an implantation of stents. The latter procedure,
    nevertheless, has been discredited by the rare occurrence of stent migration. Neither can it
    completely eliminate the risk of restenosis, bound to bring in its wake new bouts of nervous
    and mental incapacitations attributable to CCSVI.

    To more reliably prevent relapses of CCSVI attributable to reflux in or via internal jugular
    veins, open surgery, even valve transplants, seem advisable.
    Especially in valvular incompetence of a right internal jugular vein bearing, more or less
    exclusively, the brunt of venous flow inversions in superior cava vein, valve transplants may
    prove the means of choice for preventing cerebral complications of CCSVI.

    What might provide no less an effective protection against venous flow inversions pushing
    back via straight sinus into its affluent veins is perforating the thin dural septum or bridging a
    gap between straight and superior sagittal sinus preventing the levelling out of higher pressure
    gradients between the two sinus’ affluent veins.

    Owing the greater complexity of the venous systems being involved in the development of
    CCSV lesions of the spinal cord, correcting the underlying venous preconditions is
    unavoidably more time-consuming and difficult.

    Conclusion

    Well planned, and carefully performed, surgical interventions intended to correct flow
    inversions in internal jugular, azygos, as well as lumbar veins can be expected, without any
    particular risks, to put an end to repeated bouts of cerebral and more continuous progression
    of spinal incapacitations resulting from veno-venous reflux into the craniovertebral space.

    The procedures have accordingly been stated to meet the legal, moral and scientific criteria
    specified by concerned organisations, including the World Health Organisation.

    The fact that patients suffering from CCSVI tend to be classified, from the standpoint of
    neurology, as instances of multiple sclerosis (MS), should not surprise on account of the
    following:

    (1) Regarding the pathomechanisms being indicated above, CCSVI must be expected to
    usually comply with the clinical criteria underlying the neurological diagnosis of MS.
    (2) The cerebrospinal fluid oligoclonal bands considered as the most important laboratory
    finding supporting the clinical diagnosis of MS are also observed in traumatic and
    vascular affections of brain and spinal cord (5). On this account we are also bound to
    expect a development of oligclonal band in spinal and cerebral affections caused by
    CCSVI.
    (3) Both at post mortem and on MRI, findings which indubitably reflect - not only
    regarding their location, but also in their form as well as manner and pattern of spread
    - the kind of lesions that must be expected in CCSVI, have consistently been presented
    as typical, even specific lesion pictures of MS (6, 7, 8, 9, 10, 11, 12).

    References

    (1) Huang P ea: Successful treatment of cerebral venous thrombosis associated with bilateral
    internal vein stenosis using direct thrombolysis and stenting: A case report. Kaohsiung J Med
    Sci 2005; 21: 527-31
    (2) Bernstein R, Futterer S: Venous unresponsiveness. Lancet 2004; 363: 368.
    (3) Zamboni P ea: Intracranial venous haemodynamics in multiple sclerosis. Current
    neurovasc res 2007; 4: 252-8.
    (4) Gejrot T, Lindbom A: Venography of the Internal Jugular Vein and the Transverse
    Sinuses (Retrograde Jugularography). Acta Oto-Laryngol 1960; 52(S158-6): 180-

    hes=52 - v52
    (5) Cohen O, Biran I, Steiner I: Cerebrospinal fluid oligoclonal bands in patients with spinal
    arteriovenous malformation and structural central nervous system lesions. Arch Neurol 2000:
    57: 553-7.
    (6) Charcot JM: Leçons sur les maladies du système nerveux, 5th ed, vol. I, pp. 189-272,
    Plates VII, VIII. Paris, Delahaye 1884
    (7) Ordenstein L: Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisée, pp 49-81,
    Plate II. Paris, Martinet, 1867
    (Cool Young IR ea: Nuclear magnetic resonance imaging of the brain in multiple sclerosis.
    Lancet 1981; II: 1063-6
    (9) Johnson MA ea: Magnetic resonance imaging: Serial observations in multiple sclerosis.
    AJNR 1984; 5: 495-8
    (10) Isaac C ea: Multiple sclerosis: A serial study using MRI in relapsing patients. Neurology
    1988; 38: 1511-5
    (11) Koopmans RA ea: The lesion of multiple sclerosis: Imaging of acute and chronic stages.
    Neurology 1989; 39: 959-63
    (12) Yetkin FZ: Multiple sclerosis: Specificity of MR for diagnosis. Radiology 1991; 178:
    447-51
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    RECHERCHES ANTERIEURES sur le lien CCSVI-SEP Empty traduction

    Message  dane83 Mar 6 Juil 2010 - 7:55

    CCSVI: Comment faire pour diagnostiquer et traiter les
    affections nerveuses attribuable à
    une récurrence des inversions de flux veineux
    violents

    conception
    conventionnelle de l'insuffisance veineuse chronique céphalo-rachidien

    En principe, le terme insuffisance chronique veineuse
    céphalo-rachidien (CCSVI) met simplement en
    la présence de passages critique réduit dans les
    veines jugulaires internes et la veine azygos, principale
    canaux de drainage veineux du crâne et des vertèbres.
    Effet immédiat de toute
    entrave à ces
    drainage
    veineux est un barrage du sang veineux dans la périphérie, engorgées
    navires affluent
    et veines
    collatérales inondations. Cette congestion veineuse peut être aggravée par un
    ralentissement
    de la
    circulation sanguine, dénommé stase: manque de nutriments et gorgés de
    déchets métaboliques
    produits,
    les liquides veineuse respire périphérie et même de minuscules taches
    de sang.

    Moins
    conséquences évidentes du CCSVI

    Un barrage du sang dans les veines jugulaires et
    azygos peut encore aussi prédisposer à un type autre
    des événements délétères: empêchés de s'échapper vers
    le cœur assez rapidement, la engorgés
    contenu veines peuvent être repoussés en direction du
    cerveau ou canal rachidien au cours de toute forme de
    compression de la veine jugulaire et azygos.
    Ces événements semblent plutôt les dangereux:
    (1) Les volumes de sang sont plus à se déplacer en
    direction de la périphérie veineuse;
    (2) la hausse de la pression veineuse locale;
    (3) Le sang est plus repoussé
    (A) des veines du cou dans une certaine partie du
    cerveau, ou
    (B) les
    volumes plus véhément plus de celui-ci sont chassés de l'abdomen en
    en particulier canal rachidien lombaire;
    (4) Le plus les veines concernées sont déjà remplis;
    (5) Le plus, avec droite ou à gauche la veine
    jugulaire interne, un système de drainage distinctes cérébrale, ou
    également le système de drainage de la colonne
    vertébrale les veines lombaires avec ou sans veine azygos est
    exclusivement
    être
    impliqués;
    (6) Le plus
    strictement limité le système cérébral impliqué drainage veineux de
    périphériques
    territoire, et
    (7) Le plus facilement les murs et les environs de
    veines du cerveau et du canal rachidien momentanément
    céder à une colonne de sang de régurgitation.

    Comme pour le facteur (1) non seulement momentanée ou
    durable obstacles du débit veineux ordinaire de
    internes et les veines jugulaires azygos entrent en
    jeu. Parfois,
    l'élargissement considérable de particulier
    les parties inférieures des veines jugulaires
    internes peuvent également modifier défavorablement le cours des
    événements.

    En ce qui
    concerne facteur (2), mais nous pouvons noter ce qui suit:
    Au cours de pressions effort musculaire atteindre des
    hauteurs de 500 mm Hg sont connus à l'impact
    sur les veines du tronc - une valeur qui peut être
    largement dépassé dans tous les types d'accidents.

    Le point, cependant, dans quelle mesure jugulaire ou
    sous-occipitale de la pression veineuse peut augmenter lors des
    déplacements ou
    l'effort de,
    et, en particulier, les effets externes sur le col ne semble jamais
    avoir été
    a enquêté sur.

    Pas beaucoup plus peut-on dire, compte tenu du
    facteur (3):
    (A) Le laps de
    temps disponible pour le reflux veineux dans le crâne - en fonction du
    cours
    équilibre entre, d'une part,
    différentes pressions veineuses et sans liées veineux et
    la pression artérielle non seulement dans le cerveau,
    mais tout l'espace cranio-vertébrale est d'une importance cruciale
    importance pour la profondeur à laquelle inversions
    du flux veineux peut pénétrer dans une veineux distincts
    territoire du cerveau.

    (B) En ce qui concerne la durée du reflux veineux
    dans la colonne vertébrale, il existe des preuves anecdotiques
    simplement
    à partir des
    observations de la radioscopie des déplacements massifs des voies
    respiratoires du liquide céphalo-rachidien
    de descendre dans les parties supérieures de l'espace
    cranio-vertébrale dans les périodes de temps très court.

    Concernant le point (4) nous devons être conscients
    du fait qu'un engorgement substantielle de l'Intérieur
    veines jugulaires ne en aucun cas se produisent
    uniquement avec durables obstructions organiques. La très
    positionnement variable, rotation extrêmes, flexion
    ou en extension, de la tête contre la poitrine
    a longtemps été connu pour être en mesure d'endiguer
    les veines jugulaires ainsi.

    Dans les obstructions de l'extrémité supérieure des
    veines jugulaires internes, il faut garder à l'esprit que les grandes
    volumes de sang peuvent être repoussés en direction
    du cerveau, aussi massivement à partir engorgés
    veines collatérales, à savoir en particulier de la
    veine sous-occipitale plexus, via postérieure ou latérale
    veines condyliennes.

    Remarquablement peu soucieux point soulevé (5) (a), à
    savoir le fait que le sang étant repoussés de
    (Ou via) soit à droite ou à gauche la veine jugulaire
    interne peut sélectivement charge soit la corticale ou de la
    intérieure drainage veineux du cerveau. Ceci malgré le fait que les
    variations anatomiques de la
    confluence
    des sinus prédisposant à l'insuffisance ou de manque de mise à niveau
    de la pression
    gradients
    entre intérieur et extérieur du système de drainage veineux cérébral ont
    souvent été décrites
    déjà
    au 19ème siècle AD. Avec complètement divisée sinus droit, il est même possible que
    que gauche ou à droite intérieure veines cérébrales
    peut être surchargé par des inversions de flux dans la jugulaire
    veine du même côté.

    (B) les gradients de pression énorme peut être
    brièvement construit entre les nervures dans le tronc, en particulier
    dans l'abdomen, et les veines épidurales de
    l'extrémité inférieure du canal rachidien. Voici des obstacles
    la veine azygos peut prédisposer à des changements
    plus massive veineux des veines lombaires extérieure en
    veines de l'espace épidural du canal lombaire.
    Un tel reflux veineux ne
    peut évidemment être le
    plus
    violente, la plus externe, et les veines moins interne du canal
    rachidien sont remplies, le
    plus
    large de leurs connexions entre l'ancienne et les veines ne sont, et le
    plus faible d'un compteur
    la
    pression contre les déplacements vers le haut de liquide
    sous-arachnoïdien spinal est exercée dans
    crâne et une partie supérieure du canal rachidien.

    Ce qui semble d'une importance décisive est un
    facteur (6): La rigueur de la limitation de la
    territoire périphériques impliquées système de
    drainage veineux cérébral est. Si inversions de flux veineux
    une veine jugulaire interne ont tendance à surcharger
    exclusivement ou principalement, soit sagittal supérieur
    sinus ou sinus droit, les veines de ceux-ci étant
    beaucoup plus à risque: Individuel veines tributaires
    du sinus droit ont tendance à être directement et de
    manière sélective en fonction de fardeau momentanée
    résistance à la pression de leur périphérie
    vasculaires alors que les orifices souvent réduit de la corticale
    veines, en pointant vers la fin du sinus sagittal
    supérieur »antérieure souvent aveugles, ont tendance à être surchargé
    dans son ensemble; à part cela, les veines corticales
    sont plutôt reliés entre eux sous la forme d'un maillage,
    dont les principales chaînes de télévision ont
    souvent accès à des veines extracrâniennes à la base du crâne ne sont
    pas
    accablés par le reflux
    veineux.

    L'invasion
    directe du sinus droit «riches veines souligne l'importance du facteur
    (7): Les pressions exercées transmurale le long de
    chaque riches veineux dépend non seulement de
    configuration et le mode de distribution de chacune
    d'elles, elles sont également fortement modifié par
    veineux et artériel pressions exercées contre de la
    part des navires corticale envahissante de la
    locales périphérie veineuse - la perfusion de
    l'après-ci étant sans cesse modifiées conformément aux
    activation des entités fonctionnelles du cerveau.
    La partie inférieure du
    tissu local momentanée
    pression,
    les murs et les environs plutôt d'une branche de la veine galénique
    sera pas en mesure
    pour résister à
    l'impact d'une colonne de sang de régurgitation.

    Ainsi la pression baisse de perfusion cérébrale,
    d'inspiration, la position ou le mouvement à charge
    vidange de même très éloignés cérébrale ou spinale
    péridurale veines peuvent considérablement accroître le risque
    pour les reflux veineux, à des degrés préjudiciable
    de reflux veineux.

    Cerveau
    et la moelle épinière des dommages-intérêts doit être effectué en CCSVI

    Une surabondance de canaux collatéraux veineux assure
    habituellement la même que complète
    oblitération des deux veines jugulaires internes ne,
    de et par lui-même, ne causera aucun dommage durable.
    Dans un contraste saisissant avec la présente, les
    obstructions des sinus sagittal supérieur (1) ou sinus droit (2)
    entraînent généralement dans les piscines de l'œdème,
    parsemée hémorragies, le marquage à la stase touchés
    domaines de tissus. Dans ce dernier cas, histopathologique,
    démyélinisation potentiellement réversible prévaut.

    En ce qui concerne CCSVI, aucune enquête systématique
    sur la façon dont elle affecte le cerveau et la moelle épinière a
    encore été effectuée. obstructions veineuses observées dans CCSVI
    encore semblent guère
    capable
    de produire des périphériques stase circulatoire. Dans cet esprit, les
    affections nerveuses
    chez les
    patients présentant CCSVI ne montrent pas les tableaux cliniques
    observés précédemment dans de graves
    col de l'utérus obstruction veineuse de toute cause.

    L'observation la plus frappante dans les cas graves
    faits de CCSVI était en fait celle-ci:
    Expiration forcée seul ne suffit pas pour inverser le
    sens de circulation dans l'intérieur cérébrale
    veines se rapportant à l'sinus droit «territoire
    (vasculaires 3). Les
    lésions apparaissent dans comparables
    les modes de distribution pourrait donc s'attendre à
    témoigner de comparable activités veineuse.

    Dans certaines circonstances, n'importe quel type de
    compression musculaire ou à l'extérieur de l'extra
    veines étant engorgés en raison des obstructions dans
    les veines jugulaires internes on peut s'attendre à
    préférentiellement les veines des morts-terrains dans
    le sinus droit «petit, strictement limités domaine veineuse:
    Ce, en particulier avec un sinus droit étant
    directement, juste essentiellement, voire exclusivement,
    liée à une veine obstruée jugulaire interne. Plus généralement,
    cependant, le sinus droit »
    les navires
    sont tributaires à un plus grand risque tout simplement en raison de
    leur ramification le long, et la membrane
    off dans les tissus pulpeuse en bordure des volumes
    considérables de, parfois, plus facile à céder
    liquide céphalo-rachidien où ils sont, mais confrontés
    à un reflux dernière de tout concurrent
    pulsations artérielles.

    Considérant tout cela, il semble évident que
    CCSVI-lésions ne peuvent pas, mais apparaissent d'abord au sujet
    grosses veines sous-épendymaires à côté de la
    propagation le long de leurs veines les plus accessibles riches.
    Plus loin, le quartier des coudes et des
    ramifications vasculaires pourraient être les plus exposés.
    De cette façon, compact, cônes lésion bien délimitée
    et les vagues peuvent être attendus de
    surfaces intérieures dans la substance des
    hémisphères cérébraux, le mensonge en ligne avec tard émergents
    plaques périphériques. Dans l'ensemble, ce type de
    propagation lésion CCSVI doit simplement marquer
    où le sang est refoulé vers les sinus droit
    «territoire indûment accablés l'vasculaires
    impliqués parois veineuses et périphérie.

    tissus concernés serait donc de temps en temps la
    proie de commotions passagères ou contondants
    contusions supérieure du contenu de leurs veines.
    Cliniquement, les
    affections correspondantes pourraient être
    manifeste, mais pour les secondes (commotion
    cérébrale à la désorganisation intracellulaire légère) ou durer jusqu'à
    mois (démyélinisation traumatique). Incapacitations produites
    par des contusions graves, se retrouvent
    la destruction de tissu neuronal ou complète,
    cependant, ont une durée de vie.

    Gainé dans un sac dural difficile d'être entouré par
    un maillage de veines largement interconnectés, l'
    la moelle épinière ne peut guère être envahie par une
    propagation de veineuse excès de pression dans ses veines.
    Le sang veineux est refoulé dans le canal inférieur
    en particulier la colonne vertébrale peut encore momentanément
    déplacer le manteau de liquide céphalo-rachidien
    enrobage du cordon, ce qui d'imposition à la fois la colonne vertébrale
    cordon de surfaces et encore plus de points et de
    lignes d'insertion des ligaments par lesquels il est
    fixe à ses gaines.

    En ce qui concerne le risque d'inversions de flux
    veineux atteindre des intensités préjudiciable, le cerveau et la colonne
    vertébrale
    Il peut être
    prévu de différer dans le texte suivant: L'impact d'un reflux veineux
    envahir le
    cerveau peut être devrait augmenter avec le degré de
    voies impliquées veineuse "
    engorgement
    en particulier le long de leur cours également intracrânienne. reflux veineux dans la
    colonne vertébrale
    canal, d'autre
    part, sera le plus véhément, plus copieusement les veines à l'extérieur
    et
    les plus pauvres personnes à
    l'intérieur du canal rachidien en sont venus à être remplis.

    Diagnostics de CCSVI

    Le processus de CCSVI ne dépend pas simplement du
    degré de sténose affectant un ou deux
    jugulaire interne, respectivement, la veine azygos.
    La vérification de
    prédispositions individuelles
    à
    des inversions de flux en définitive préjudiciable voies veineuses du
    cerveau et la moelle épinière en conséquence
    exige à côté d'une vérification de la présence
    d'extra à intracérébrale ou extra-aux
    intraspinale reflux veino-veineuse, un de ses
    retraçant individuellement différentes sources et de cours.
    Les conditions favorisant les grands volumes, des
    pressions plus élevées, et surtout une plus grande
    véhémence et une plus large portée des inversions de
    flux veineux assaillir le cerveau et la moelle épinière ainsi
    devrait devenir évidente.

    Un outil largement disponibles et, en conséquence, de
    préférence utilisés pour tracer un
    survenance d', et à certaines conditions préalables,
    des inversions de flux dans les veines du cou est Duplex
    échographie. Idéal pour
    découvrir la fonction valvulaire et de la configuration (sténose,
    prestenotic
    dilatation)
    des veines jugulaires internes, scans Duplex se prête à une évaluation
    de la
    risque de reflux veineux
    dans le long et plus haut les principales voies extracrânienne du
    cerveau.
    Transcrânienne
    couleur Doppler, d'autre part, est inégalé dans sa capacité
    directement trace inversions de flux veineux à
    l'intérieur du crâne. Son potentiel de discrimination
    prédispositions au reflux veineux dans, d'une part,
    sinus droit et, d'autre part,
    sinus
    sagittal supérieur n'a pas été pleinement exploité jusqu'à présent.

    Dans la tentative de déterminer si elle est
    effectivement reflux veineux qui représente nerveux
    et incapacitations mentale qui, autrement, devait
    rester inexpliqué, IRM cérébrale ne peut pas
    se faire sans. Répétées à intervalles rapprochés, il permet même de
    contrôler la façon bizarre
    dont les
    lésions causées par CCSVI sont liés à l'avance et de recul.
    En ce qui concerne la détection des lésions de la
    moelle épinière attribuable à CCSVI, la routine IRM a
    malheureusement pas encore atteint la sensibilité et
    la spécificité nécessaire.

    MRV effectué conformément au protocole de Haacke sont de nature
    à rendre exactes et complètes
    reconstructions en trois dimensions de l'anatomie veineuse
    cervicale et intracrânienne. Ce faisant,
    ils
    peuvent fournir la preuve de séparations plus ou moins complète entre le
    droit et côté gauche
    col
    de l'utérus drainage veineux du cerveau. Voici la démonstration d'une continuation
    directe de
    sinus droit en
    un seul (deux fois plus souvent à gauche qu'à droite) latérales ou
    encore occipito-marginal
    sinus
    atteint d'intérêt primaire.

    Le moyen le plus précis pour une forte, illustration
    détaillée et complète de la route
    lesquelles ces inversions de flux veineux peut
    prendre est classique phlébographie sélective.
    Quant à l'élucidation des processus CCSVI touchant le
    cerveau, rétrograde expiratoire
    jugularography (4) semble être l'outil le plus
    révélateur.

    Dans la
    tentative de traçage CCSVI processus affectant la moelle épinière,
    classiques sélective
    phlébographie
    ne doit pas être limitée à la veine azygos. Surtout dans les lésions
    soupçonnées CCSVI
    de la partie
    inférieure de la moelle épinière, les veines lombaires «connexions à la
    fois la veine cave inférieure et la
    péridurale plexus veineux du canal rachidien doivent
    être étudiées.

    Prévention des
    dommages résultant de CCSVI

    Si le développement des lésions apparaissant
    caractérisé et émergents dans les façons nous venons de décrire
    peut être démontré d'être associé à la prédisposition
    individuelle à l'massive, intensive, ainsi que
    inversions de débit de grande envergure dans
    définitive des voies veineuses du cerveau et la moelle épinière, de tels
    événements
    Il faut
    prévenir par des moyens appropriés physique.

    Cela semble d'autant plus urgente que la répétition
    des inversions de flux dans un drainage veineux
    système tend à durcir ses murs et à dilater les
    canaux vasculaires sont impliqués. De cette façon
    le processus de CCSVI tend à devenir de plus en plus
    dangereusement intensifiée.

    Dans les cas graves, que bien planifié des
    interventions chirurgicales peuvent être attendus de manière fiable
    halte,
    voire d'empêcher, sinon sans relâche progresse
    incapacitations neurologiques et mentaux
    en raison de CCSVI.

    Des suggestions concrètes thérapeutiques

    Pour l'instant le traitement de CCSVI a été fondé sur
    des sténoses dilatation jugulaire interne et
    veine azygos en utilisant l'angioplastie par
    ballonnet. Pour
    contrer le risque de resténose élevé, compte tenu principalement
    dans la veine jugulaire interne en raison de son
    effondrement en position assise et debout, ballon
    angioplastie a souvent été complétée par une
    implantation de stents. Cette dernière procédure,
    Néanmoins, a été discréditée par la rareté de
    migration de l'endoprothèse. On ne peut pas
    éliminer
    complètement le risque de resténose, tenu d'apporter dans son sillage
    de nouveaux épisodes du système nerveux
    et incapacitations mentale attribuable à CCSVI.

    Pour plus fiable prévenir les récidives d'CCSVI
    imputable au reflux dans ou via la veine jugulaire interne
    veines, la chirurgie ouverte, les greffes de soupape
    même, semble opportun.
    En
    particulier dans l'incompétence valvulaire d'un roulement droit veine
    jugulaire interne, plus ou moins
    exclusivement, le poids des inversions de flux veineux
    dans la veine cave supérieure, les greffes de la vanne peut
    prouver les moyens de choix pour la prévention des
    complications cérébrales de CCSVI.

    Ce qui pourrait donner pas moins une protection
    efficace contre les inversions de flux veineux poussant
    Retour via sinus droit dans ses veines riches est la
    perforation du septum mince dural ou combler une
    écart entre droite et supérieure du sinus sagittal
    empêcher la mise à niveau de pression plus élevée
    gradients entre les veines des deux sinus «nantis.

    En raison de la complexité accrue des systèmes veineux
    être impliqué dans le développement de
    CCSV lésions de la moelle épinière, de corriger les
    conditions sous-jacentes veineux
    inévitablement plus de temps et difficile.

    Conclusion

    Bien planifié et exécuté avec soin, les interventions
    chirurgicales destinées à corriger des flux
    inversions dans la veine jugulaire interne, azygos,
    ainsi que des veines lombaires peut être prévu, sans aucune
    risques particuliers, à mettre un terme à des épisodes
    répétés de progression cérébrale et plus continue
    incapacitations de la colonne vertébrale résultant de
    reflux veino-veineux dans l'espace craniovertebral.

    Les procédures ont donc été déclaré pour répondre aux
    critères juridiques, moraux et scientifiques
    spécifié par les organisations concernées, y compris
    l'Organisation mondiale de la Santé.

    Le fait que les patients souffrant de CCSVI ont
    tendance à être classées, du point de vue
    neurology, as
    instances of multiple sclerosis (MS), should not surprise on account of
    the
    following:
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    Message  Domyleen Mar 6 Juil 2010 - 9:43




    CCSVI, c'est du ressort des spécialistes vasculaires, et pas des neuros! Or la SEP est toujours considérée comme une maladie ...neurologique!!
    C'est tout le problème! Rolling Eyes

    Perso, je vais faire comme s'il s'agissait de deux choses différentes: si CCSVI, on opère, et pas besoin de l'avis de ma neuro car ce n'est pas son domaine...

    Evidemment, comme depuis le début , on parle de CCSVI comme possible traitement pour la SEP, seuls les neuros se sont sentis concernés; mais il semble que côté vasculaire, ça commence à bouger .. (je pense que les dct G. vont se multiplier, ...y compris, en France! Wink
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    RECHERCHES ANTERIEURES sur le lien CCSVI-SEP Empty Re: RECHERCHES ANTERIEURES sur le lien CCSVI-SEP

    Message  dane83 Mar 6 Juil 2010 - 10:29

    esperons !!!

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